Laisse béton !
Bonjour, On pourrait croire que la période des vacances allait apporter un peu de calme, et bien non !
1) Une centrale béton est en cours d’installation avenue de la Marqueille,
la même semble-t-il que celle refusée à Flourens. Un permis a été délivré fin 2016 sans doute un peu à la légère pour l’installation d’un hangar de 12 m de haut (sa destination n’était pas précisée), la centrale est montée, sans déclaration de cet Installation classée (ICPE) à la préfecture !
Réunion d’information mardi 10 juillet à 20 h à l’Espace Marcaissonne, des représentants du collectif Laisse Béton ont été invités..
2) Réunion de concertation sur l’aménagement du cœur de ville, atelier mobilités, Espace Marcaissonne mercredi 4 juillet 18h30
C’est censé être de la co-construction ! Mais les parkings (c’est prioritaire) et le plan de circulation sont déjà figés !
3) Présentation du projet d’aménagement paysager du bassin des Chanterelles
Jeudi 12 juillet à 18h30, au lac des chanterelles
Le lac des Chanterelles, bien qu’étant un bassin de rétention des eaux pluviales du quartier des Chanterelles, nécessite-t-il d’être aménagé ? Au fil des ans, des aménagements légers ont été réalisés (bancs, table de picnic, plantation d’arbustes, petit verger et remplacement d’arbres, cheminement autour du lac). La nouvelle équipe municipale est revenue sur la gestion différenciée (seul un petit secteur est géré en fauche tardive), la demande de l’asso Sone de ne pas faucher le côté ouest du lac pour protéger un peu la faune du lac (poule d’eau, canards, …) n’a pas été prise en compte. Faut-il en faire plus ? On peut s’interroger car il n’y a pas eu de demande en ce sens de la part des riverains, qui sont pour la préservation de l’ambiance naturelle actuelle.
La seule question porte sur le risque d’assèchement du lac. Les études montrent que le niveau du lac suit celui de la nappe phréatique, Si celle ci s’abaisse sous le ne niveau du fond du lac, il n’y a plus d’eau et on se retrouve dans une ambiance sahélienne de vase craquelée.
Une solution : recreuser une partie du lac, sachant qu’il faudra évacuer les vases polluées, mais cela a un coût.
Amicalement,
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Michel Sarrailh, élu écologiste au Conseil Municipal
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